Mois: avril 2023

Rennes - 1er mai

Mobilisation le 1er mai

Ensemble pour dire oui à une autre vision du travail et non aux 64 ans !

La CFDT, à l’unisson avec l’intersyndicale, appelle les travailleurs et les travailleuses à se mobiliser le 1er mai prochain en venant très nombreux, en famille, dans des mobilisations populaires, festives, conviviales, pour dire oui à une autre vision du travail et non aux 64 ans !

Depuis la décision du Conseil Constitutionnel et la promulgation de la loi, la réforme est encore plus injuste et brutale puisque les rares amortisseurs de la réforme ont été retoqués.

Face à la surdité du gouvernement, ce 1er mai doit être une démonstration de la force du monde du travail, syndicalisme, de l’action collective et de l’engagement.

Pour Rennes, RDV à 11h, métro Les Gayeulles au Gast. Manifestation, avec notre outil portatif sonore, suivie d’un pique-nique au parc des Gayeulles

Attention nouvel horaire 10 h

D’autres lieux de rassemblement dans le département, à Fougères, Redon, Saint-Malo, Vitré, Combourg. Détails ci-dessous.

En week-end ou en vacances en France, retrouvez ici les points de mobilisation ailleurs en France

Lieux rassemblement 35 1er mai

Mobilisation du 13 avril contre la réforme des retraites : Nous étions 15 000 dans la rue à Rennes

Avec le retour du conseil constitutionnel qui avoir lieu aujourd’hui, la CFDT reste plus que jamais déterminée à demander le retrait de cette réforme injuste et inutile !

le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la censure, ou non, de la loi de réforme des retraites. Une décision attendue par nombre de Rennais, mobilisés ce jeudi 13 avril pour le douzième acte national dans les rues de la capitale bretonne.

Réforme des retraites : Mobilisation le jeudi 13 avril (12 ième journée)

L’intersyndicale a appelé à une 12e journée de grèves et de manifestations contre la réforme des retraites jeudi prochain, à la veille de la décision très attendue du Conseil constitutionnel.

Ce sera la douzième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. L’intersyndicale a appelé ce jeudi à des grèves et des manifestations le 13 avril, à la veille de la décision très attendue du Conseil constitutionnel.

« Près de 2 millions » de personnes ont manifesté jeudi dans toute la France lors de la 11e journée d’action, selon le décompte de l’intersyndicale, tandis que le ministère de l’Intérieur en a recensé 570 000, une mobilisation en reflux par rapport à la précédente journée le 28 mars.

Interrogé sur France 5 ce jeudi soir sur ce fléchissement, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a noté que les mobilisations restaient « importantes ». « Oui, ça devient plus dur pour certains salariés parce qu’à chaque fois c’est une perte de salaire », a-t-il ajouté.

Grèves moins marquées

Après bientôt trois mois de conflit, les manifestants ont affiché une détermination à toute épreuve. Les grèves étaient cependant moins marquées, notamment à la SNCF, avec trois TGV sur quatre et un TER sur deux et, à Paris, un trafic « quasi normal » pour le métro et le RER.

Des cheminots ont envahi brièvement l’ancien siège du Crédit Lyonnais à Paris, avec force fumigènes et sifflets. Et la tour Eiffel était fermée. Côté raffineries, après l’annonce du redémarrage de la production du site Esso-ExxonMobil de Port-Jérôme-Gravenchon (Seine-Maritime), sa voisine TotalEnergies à Gonfreville-L’Orcher reste la seule dont la production est encore arrêtée. Pour cette raffinerie, le tribunal administratif de Rouen a ordonné en référé la suspension de l’arrêté de réquisition de grévistes.

Dans l’éducation, le ministère a recensé moins de 8 % d’enseignants grévistes. Quelques lycées et universités ont fait l’objet de blocages, comme la Sorbonne ou Assas.

« Entretenir la flamme »

Mais comme depuis le 10 janvier et la présentation de la réforme, le plus gros blocage est surtout à rechercher entre exécutif et syndicats. Après une rencontre qui a tourné court mercredi à Matignon, la cheffe du gouvernement a affirmé qu’elle n’envisageait « pas d’avancer sans les partenaires sociaux ».

La réciproque est moins vraie. Pour Sophie Binet, le gouvernement est « bunkerisé » et sa « capacité à diriger le pays est remise en cause ».

De son côté, l’entourage du président de la République, en déplacement en Chine jusqu’à samedi, a rejeté la responsabilité de l’échec du dialogue sur les syndicats, et notamment la CFDT qui n’a pas « voulu entrer dans un compromis ».

Les syndicats se réuniront à nouveau après la décision du Conseil constitutionnel le 14 avril. Laurent Berger a dit espérer que les Sages censurent « l’ensemble de la loi ». À défaut, a estimé le numéro un de la FSU Benoît Teste ce jeudi, un feu vert à la procédure de référendum d’initiative partagée (RIP) sur les retraites « peut nous permettre d’entretenir la flamme ».